Feu d’artifice grandiose pour les 87 ans de la République turque…
Photographie Aksel Köseoglu
J’aime tellement les feux d’artifice que lorsque j’avais vingt ans, étudiante en lettres, j’avais innocemment téléphoné au directeur de plus célèbre établissement français de pyrotechnie pour lui demander de me prendre comme stagaire. Ce qui m’avait valu une belle déception, la personne m’ayant ricané au nez, l’art des fusées n’étant pas, à son avis, une affaire de femmes et encore moins de littéraire…
Je dois dire que je suis assez difficile en matière de feu d’artifice, ayant grandi à Cannes où, depuis mon plus jeune âge, j’ai chaque année pu admirer les merveilles du festival international de la pyrotechnie.
Mais ce soir, ce fut un enchantement, une féerie en rouge et blanc.
Photographie du site
Perizade.com
Le pont illuminé de blanc, avec tous ses cables parés de milliers d’ampoules rouges.
Des milliers de gerbes se reflétant sur le miroir argenté du Bosphore.
Des étoiles blanches émergeant de gigantesques gerbes rouges.
Des arbres poussant à la surface des eaux.
Une fenêtre ouverte sur un rêve de lumières...
Photographie Aksel Köseoglu
Photographie Aksel Köseoglu