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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 22:17

Une nouvelle étude du Dom Juan de Molière avec mes élèves de Première me fait me rappeler cette chanson de Claude Nougaro

 

Hommage à un grand artiste de la chanson française

 

  Claude Nougaro  

 

Les Don Juan, Musique: D.Goyone

 

http://www.youtube.com/watch?v=uKHqZTCJ3XE 

 

 

nougaro

 

 

Ce qu'il faut dire de fadaises

Pour voir enfin du fond de son lit

Un soutien-gorge sur une chaise

Une paire de bas sur un tapis

Nous les coureurs impénitents

Nous les donjujus, nous les don Juan.

 

Mais chaque fois que l'on renifle

La piste fraîche du jupon

Pour un baiser, pour une gifle

Sans hésiter nous repartons

La main frôleuse et l'œil luisant

Nous les donjujus, nous les don Juan.

 

Le seul problème qu'on se pose

C'est de séparer en deux portions

Cinquante-cinq kilos de chair rose

De cinquante-cinq grammes de nylon

C'est pas toujours un jeu d'enfant

Pour un donjuju, pour un don Juan.

 

Le mannequin, la manucure

La dactylo, l'hôtesse de l'air

Tout est bon pour notre pâture

Que le fruit soit mûr ou qu'il soit vert

Faut qu'on y croque à belles dents

Nous les donjujus, nous les don Juan.

 

Mais il arrive que le cœur s'accroche

Aux épines d'une jolie fleur

Ou qu'elle nous mette dans sa poche

Sous son mouchoir trempé de pleurs

C'est le danger le plus fréquent

 

Pour un donjuju, pour un don Juan.

 

Nous les coureurs du tour de taille

Nous les gros croqueurs de souris

Il faut alors livrer bataille

Ou bien marcher vers la mairie

Au bras d'une belle-maman

Pauvres donjujus, pauvres don Juan

 

Nous tamiserons les lumières

Même quand la mort viendra sonner

Et nous dirons notre prière

Sour un chapelet de grains de beauté

Et attendant le jugement

Nous les donjujus, nous les don Juan.

 

 

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 11:27

 

Le censeur de l’Encyclopédie est un “capucin renforcé qui joue de la serpe à tort et à travers...”

 

C’est ce qu’écrivait Diderot à Sophie Voland il y a déjà pas mal de temps.

 

Alors, comme vous l’avez déjà appris, ( voir par exemple l’article du Petit Journal), le 22 Fructidor ( gare aux dates…) entre en vigueur la censure d’Internet !!! Pour préserver la jeunesse des mauvaises influences ! Gloups !

Hélas, on devine bien ce qui se cache sous cette interdiction. Certainement autre chose que prohiber les images de S♥♥E !

Dorénavant, on ne parlera plus que de fleurettes !

 

STP60613.JPGCes fleurs ne sont pas vénéneuses, ce sont celles de ma terrasse... Pour ceux et celles qui auront compris...

 

Une liste de mots coupables a déjà été dressée. Le problème est que si pour certains, la raison de la prohibition semble évidente (même discutable) pour d’autres…

Méfiez-vous désormais des vocables en contenant un autre. Renoncez aux conseils culinaires !

Ces mesures drastiques risquent de voir jeter aux oubliettes pas mal de sites et de blogs où figurera, même hors contexte, un petit exemple du lexique maudit. C’est pour cela que, dimanche 14 Floréal, des milliers de personnes ont manifesté dans toutes les grandes villes pour la liberté du Web.

 

En fonction de quels critères la liste a-t-elle été établie? Peut-être de l’imagination débridée des concepteurs !

 

 Par exemple, l’adjectif “grosse” figure dans la liste !

            Mé à koi è-se k’il on donk pansé ?   

Cher(e)s ami(e)s blogueurs(euses), créateurs, créatrices de sites, pas de panique, on n’a jamais réussi à museler ceux et celles qui voulaient écrire ! On n’a fait que décupler leur imagination !

 Allons revisiter Denis pour prendre des cours d'écriture !

 

Denis-Diderot.jpgMon cher Denis !

 

Bon, vous me répondrez :”C’est bien triste, au début du XXIe siècle”

Ça, on est bien d’accord. Mais le principal n’est-il pas de continuer à écrire ?

 

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13 février 2011 7 13 /02 /février /2011 23:00

1-copie-1
          Victor Hugo était déjà très célèbre pour ses poèmes et ses pièces de théâtre quand à la trentaine, il fait connaissance avec une actrice, Juliette Drouet, qui joue dans sa pièce Lucrèce Borgia.

 

hugo 004

De cette première rencontre, marquée par un coup de foudre réciproque, va naître une liaison amoureuse qui durera 50 ans ! C’est pour elle que Victor Hugo, composera, sa vie durant, ses plus poignants poèmes d’amour. 

 

Mon âme à ton cœur s’est donnée, lui écrit-il.

 

-  Je fais tout ce que je peux pour que mon amour ne te dérange pas.

Je te regarde à la dérobée.  Je te souris quand tu ne me vois pas,  lui répond-elle.

   

hugo 005-copie-1

Car toute son existence, Juliette va désormais la passer dans l’ombre de Victor Hugo. En effet, ce dernier, marié, continuera toujours à vivre avec son épouse et ses cinq enfants. Aussi Juliette habitera-elle tout le temps, au fil de nombreux déménagements, dans une rue proche de celle de son amant. Par amour pour lui, à sa demande, elle renonce au théâtre. Elle accepte de ne plus porter de tenues trop voyantes et de ne plus sortir de chez elle, sauf en sa compagnie. A quoi occupe-t-elle ses journées lorsqu’elle ne voit pas Victor ? Elle recopie les manuscrits du grand écrivain ! Elle sera toujours sa première lectrice et sa conseillère littéraire. Et elle lui écrit des lettres d’amour. Plusieurs par jour. Elle lui en adressera en tout 20000 !

 

hugo 006

Juliette Drouet endure tout. En particulier les multiples infidélités de son amant. Car les femmes, qui tombent amoureuses de Hugo rien qu’en lisant ses poèmes, ne cessent d’occuper la vie du poète. Il a même fait aménager au domicile conjugal une porte secrète pour y recevoir ses maîtresses. Plusieurs fois, Juliette le quittera. Mais Victor ira à chaque fois la rechercher en lui répétant une promesse solennelle : Nos deux vies se sont soudées à jamais.  

 

hugo

En 1851, lorsque Napoléon III prend le pouvoir, la vie de Victor Hugo, républicain et farouche opposant politique de l’empereur, est en danger. Toutes les forces de la police impériale sont à sa poursuite. Juliette le cache, lui procure un faux passeport et lui permet de passer la frontière. C’est elle aussi qui sauve la fameuse « malle aux manuscrits » contenant toutes les œuvres de Hugo. Et ce dernier prend, avec sa famille, la route d’un exil qui durera dix-neuf ans, sur l’île anglo-normande de Jersey puis de Guernesey.

 

 

hugo 001

 

Bien sûr, Juliette le suit dans ce petit morceau de terre perdu dans l’Atlantique et s’installe de nouveau dans une rue à coté de la sienne.

 

 House

 

Elle ne quittera Guernesey que lorsque, après la chute du Second Empire, son célèbre amant rentrera enfin en France.

  hugo 002


Toute leur vie, Victor Hugo et Juliette ont tenu un cahier rouge appelé « Le livre de l’anniversaire » où ils ont chaque année écrit un texte célébrant l’anniversaire de « la nuit bénie », c'est-à-dire leur première nuit d’amour, le 16 février 1833. Ce jour-là, Victor Hugo avait noté :

 

Le 26 février 1802,  je suis né à la vie, le 16 février 1833, je suis né au bonheur dans tes bras. La première date, ce n'est que la vie, la seconde c'est l'amour. Aimer, c'est plus que vivre...

 

Et le 16 février 1883, il écrit : Cinquante ans d’amour, c’est le plus beau des mariages. 

 

 hugo 003


Juliette mourra cette année-là, deux ans avant Victor.

 

 9

 

Sur sa tombe, il fera graver l’épitaphe suivante :

 

Quand je ne serai plus qu’une cendre glacée,

Quand mes yeux fatigués seront fermés au jour,

Dis-toi, si dans ton cœur ma mémoire est fixée :

Le monde a sa pensée, moi, j’avais son amour ! 

 

 

  PS : La plupart des photographies sont extraites de deux beaux livres en vente à la Maison de Hugo, Place des Vosges :


hugo 009Victor Hugo, photographies de l’exil, sous la direction de Françoise Heilbrun et Danielle Molinari, Paris Musées.

 

 

 

 

 

 hugo 008Juliette Drouet, Mon âme à ton cœur s’est donnée, Maison de Victor Hugo, Paris Musées. 

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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 23:00

 

 

        Quelques messages envoyés sur mon site Internet me posent une question récurrente : Pourquoi, où,  quand et comment écrivez-vous ?

 

               Pourquoi ?

 Enfant, j’étais une dévoreuse de livres ; c’est l’amour de la lecture qui m’a conduite à l’écriture. Bien vite, j´eus épuisé toutes les ressources de la bibliothèque familiale. Je peux dire sans exagération que je passais tout mon temps libre à lire.

 A dix ans, je n´avais qu´une ambition, écrire un roman. J’ai réalisé mon rêve pendant les vacances de Pâques. Je crois que c´est en écrivant mon nom sur la page de garde de ce petit ouvrage que je me suis mariée à l’écriture. A partir de cette époque, je n´ai plus jamais cessé d´écrire. Quand je m´ennuyais en classe, j´écrivais. Je noircissais de poèmes les pages de mes classeurs. Au lycée, mes camarades de classe m’avaient surnommée « Mademoiselle George Sand ».

Depuis, je n’ai jamais cessé de m’adonner à ma passion. C’est mon ivresse quasi quotidienne. «  L’écriture c’est l’inconnu de soi, dit Duras dans Ecrire. C’est une sorte de faculté qu’on a à côté de sa personne, parallèlement à elle-même, d’une autre personne qui apparaît et qui avance, invisible…»

Comment devient-on écrivain ? A cause d’une envie, une motivation assez dévorante pour accepter de sacrifier tout un pan de sa vie à des heures solitaires devant une page blanche. Ecrire, c’est quand rien ne rend plus heureux que rester attelé à une table de travail. C’est de la persévérance transformée en manie.

 

153_001.jpgCarte de 1907

 

 

Où ?

Je préfère écrire dans les lieux clos que dans la nature. Le premier est mon petit bureau. C’est une pièce minuscule, l’ancienne chambre de domestique d’un appartement des années soixante. Les murs en sont tapissés d’étagères où se trouvent  mes livres et mes dossiers. C’est mon domaine personnel. Je travaille devant un grand bureau ancien sur lequel se trouve mon ordinateur. Mais j’adore aussi écrire dans les cafés, comme je l’explique dans  Mes Istamboulines. Je m’assois à une table, pose ma feuille et attends. C´est un rite. Qu´y attends-tu ? me dira-t-on. J´y attends l´inspiration. Celle qui me viendra en observant les gens assis autour de moi.

           Car le romancier est une éponge. Il s´imbibe de tous les petits faits qui paraissent anodins aux autres et se gonfle jusqu´à ce qu´il ne lui reste plus qu´un seul moyen de s´en libérer, les coucher sur le papier. Un fait divers, une conversation, une vision entrevue, une plume d´oiseau volant dans les airs, un simple mot glané dans une conversation, un bruit entendu en écho dans un bar, une scène de rue, tout est prétexte pour l´écrivain à élaborer un univers.

          Ecrire dans un café constitue un plaisir extrême. Vous captez les échos des conversations sans y participer, vous vous isolez au milieu d´inconnus qui ne soupçonnent pas l´activité à laquelle vous êtes en train de vous livrer, vous braconnez un moment de leur vie mais sans leur porter un quelconque préjudice.

  

 

593_001.jpg

Carte de 1910

 

 

        Quand  ?

        J’aime écrire le soir et particulièrement la nuit, quand tout le monde dort. Là, je travaille pendant plusieurs heures d’affilée. Je passe aussi toutes mes vacances à écrire, généralement jusqu’à quatre heures du matin.

        En dehors de ces périodes privilégiées, comme je travaille dans un lycée, il ne m’est pas possible de consacrer de longues heures à l’écriture. Alors, j’écris par fragments à n’importe quel moment de la journée. Il est rare que je passe une journée sans noircir du papier car une partie de mon esprit écrit sans cesse, où que je sois, quoi que je fasse. J’écris dans le bus, dans le taxi, dans ma cuisine quand je prépare le repas, dans le lycée lorsque j’ai une heure de pause et même parfois lorsque je suis en compagnie, en notant de petits bouts de phrases sur mon carnet. Récemment, alors que je faisais un cours de littérature et que je notais rapidement une phrase, un de mes élèves m’a demandé : « Madame, vous êtes en train d’écrire, n’est-ce pas ? » C’était vrai. Cette «  double vie » me passionne.

 

        Comment ?

       Pendant des années, j’ai écrit à la main. Puis, peu à peu, je me suis mise à utiliser l’ordinateur qui est un instrument magique pour effectuer des modifications sur un texte. Cependant, j’écris encore à la main lorsque je ne suis pas dans mon bureau et j’éprouve toujours le même immense plaisir à utiliser mon stylo à plume et son encre violette.

 

  764_001.jpg

 

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2 novembre 2010 2 02 /11 /novembre /2010 17:23

Ce matin, au Lycée Saint Joseph, des lycéens de plusieurs écoles francophones ont eu la chance de rencontrer Eric-Emmanuel Schmitt, venu à Istanbul à l’occasion de la Foire du livre. L’entretien fut d’ailleurs si passionnant que tous ont regretté qu’il ne puisse durer plus longtemps.

STP64483.JPG

C’est avec une grande affabilité que celui qui se dit « un écrivain heureux » a répondu à une multitude de questions. Bien modestement, je tenterai ici de présenter ce que je considère comme les temps forts de cette rencontre. Précisons qu’il ne s’agit pas aucunement d’un compte rendu exhaustif mais plutôt de ce que personnellement, j’ai retenu des paroles de ce grand créateur.

 Le but d’un livre

L’important n’est pas le livre en lui-même mais ce que le livre crée chez le lecteur. Eric-Emmanuel Schmitt refuse « l’art pour l’art. » Il pense, comme Diderot, que le livre est comme une graine. L’important est ce qui va germer après chez le lecteur, lorsque la graine a été semée.

« Le vrai sérieux n’a pas toujours l’apparence du sérieux. »

Eric-Emmanuel Schmitt précise qu’il écrit pour le plus large public possible. Au début, il y avait en lui ce qu’il nomme « une tension entre le populaire et l’intellectuel » car il désirait être lu par les intellectuels mais aussi par ceux qui n’avaient pas fait d’études.

Il ne voulait pas que ses amis cultivés le renient mais il souhaitait pouvoir être lu pas sa grand-mère. « Il ne fallait pas écrire pour des intellectuels mais il fallait que les intellectuels  apprécient mes livres. » En héritier du XVIIIe siècle, (« Je suis un écrivain du XVIIIe siècle égaré au XXe.»), il précise qu’on n’est pas forcé d’être ennuyeux pour dire des choses sérieuses. Il constate que dans le monde entier, lors des représentations de ses pièces de théâtre, c’est au même moment que les gens rient ou sont émus, « ce qui prouve que c’est l’humanisme qui est important. »

STP64493-copie-2       

Le choix de formes littéraires variées

« C’est l’envie qui règle ma vie… Ma vie est réglée par le désir… Quand je vais au théâtre, j’ai envie d’écrire une pièce de théâtre… »

La religion

Elevé dans une famille athée puis élève de Derrida, Eric-Emmanuel Schmitt a longtemps été athée. Mais avec le temps, partant du principe qu’une grande partie de l’humanité vit encore selon des préceptes religieux, que les religions constituent « un effort pour essayer de comprendre le réel », il  a donc porté sur elles, non pas un regard de religieux mais d’humaniste. « Aucune religion n’est vraie sauf pour celui qui la pratique », ajoute-t-il. « Puisque aucune religion n’est vraie mais qu’elles constituent toutes des aspirations à la vérité », il a décidé de s’y intéresser. C’est ce qui l’a poussé à écrire Le Cycle de l’Invisible, composé de cinq romans : Milarepa, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Oscar et la dame en rose, L'Enfant de Noé, Le Sumo qui ne voulait pas grossir.  Il ajoute que lorsqu’il  s’intéresse aux religions, ce n’est pas Dieu qu’il recherche mais l’homme.

Il pense de plus  que l’œuvre littéraire de fiction peut jouer un plus grand rôle dans la lutte en faveur de la tolérance religieuse que la philosophie ou la politique. Car le lecteur va s’attacher à un personnage d’une religion différente et  retrouver ainsi des valeurs qui ne sont pas celles d’une religion propre mais appartiennent à une sagesse universelle. Le but d’Eric-Emmanuel Schmitt est de « créer de la tolérance par la fiction ».

 A un élève qui lui demande de préciser la différence entre philosophie et religion, Eric-Emmanuel Schmitt répond qu’elles sont antithétiques, puisque la religion repose sur un corpus de croyances alors que le propre de la philosophie est de ne pas croire à la révélation mais à la raison. « La philosophie s’est construite contre la religion. » Mais le philosophe peut se rendre compte qu’il ne peut pas tout expliquer par la raison et porter alors un regard humaniste sur la religion. « Il faut aborder notre monde avec des idéaux élaborés au Siècle des Lumières. » 

Etre soi-même

Enfant, Eric-Emmanuel Schmitt dévorait tous les livres de la série des Arsène Lupin ; à l’âge de onze ans, quand il en eut fini tous les tomes, il décida d’écrire un volume de plus pour continuer à faire vivre son héros.

Plus tard, il a rêvé d’une carrière dans la musique mais a renoncé à ce projet en se rendant compte que c’était pour la littérature qu’il avait du talent.

Son conseil :  Nietzsche disait : « Deviens ce que tu es ». 

« Il faut accepter d’être celui que l’on est mais pas à cô.  Il ne faut pas rêver pour soi hors de soi.»

 Eric-Emmanuel Schmitt a expliqué que ses lecteurs avaient tendance à lui dire « Merci ! » plutôt que « Bravo ! »

Eh bien, nous, c’est en même temps « Merci ! » et « Bravo ! » que nous lui disons…

 STP64494

 

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Présentation

  • : Gisèle Durero-Koseoglu, écrivaine d’Istanbul
  • : Bienvenue sur le blog de Gisèle, écrivaine vivant à Istanbul. Complément du site www.giseleistanbul.com, ce blog est destiné à faire partager, par des articles, reportages, extraits de romans ou autres types de textes, mon amour de la ville d’Istanbul, de la Turquie ou d'ailleurs...
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  • La Trilogie d'Istanbul : Fenêtres d’Istanbul, Grimoire d’Istanbul, Secrets d’Istanbul. La Sultane Mahpéri, Mes Istamboulines, Janus Istanbul (avec Erol Köseoglu), Sultane Gurdju Soleil du Lion.
Contributions : Un roman turc de Claude Farrère, Le Jardin fermé, Un Drame à Constantinople...
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Livres de Gisèle Durero-Köseoglu

2003 : La Trilogie d’Istanbul I,  Fenêtres d’Istanbul.

2006 : La Trilogie d’Istanbul II, Grimoire d’Istanbul.

2009 : La Trilogie d’Istanbul II, Secrets d’Istanbul.

2004 : La Sultane Mahpéri, Dynasties de Turquie médiévale I.

2010 : Mes Istamboulines, Récits, essais, nouvelles.

2012 : Janus Istanbul, pièce de théâtre musical, livre et CD d’Erol Köseoglu.

2013 : Gisèle Durero-Köseoglu présente un roman turc de Claude Farrère,  L’Homme qui assassina, roman de Farrère et analyse.

2015 : Parution février: Sultane Gurdju Soleil du Lion, Dynasties de Turquie médiévale II.

 

 

 

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